On apprends tous à oublier. Et cela fait du bien.

Ce n'est plus l'heure de fuir. Je suis a présent face à mon destin. Je fais semblant de sourire à cette foule me regardant comme une étrangère venant de nul part. J'avance vers l'inconnu, une larme coule sur mon visage, mon coeur pleure pour des raisons que nul ne sait .

Je fais mine que tout va bien , d'avoir retrouvé se bonheur.

Ils ne comprennent pas que je suis si fragile derrière mon caractère que je qualifierais d'assez difficile. Je me rend compte que je suis perdu entre tout ces histoires, tout ces choix. La meilleure solution serait peut-être d'attendre.

Je songe donc à m'évader un moment, mais l'on me retiens. J'ai l'impression que tout va s'écrouler autour de moi, que tout tient à un fil.

Je n'ai plu l'envie de continuer mais il est maintenant trop tard pour faire demi tour.

"Rêver n'est pas la moindre des choses, réalité en est la vie."

Je n'ai pas changé, c'est eux qui ont changé. Ils veulent mon autodestruction.

Ils ne savent pas que l'on finit toujours par se relever, seul.

Je cache chaque jours mes propres sentiments, personne ne le vois. Je ne pense plus qu'à une seule chose... Fuire ! Fuire de se monde, de tous ses gens arrogants, sans aucuns sentiments, prétentieux et plus encore.

Il est 19h30 l'heure de rentrer mais j'en suis guère l'envie. Je continue comme à mon habitude à marcher seule. Cigarette entre les lèvres il fait presque jour, presque nuit. Je continus mon chemin dans ces ruelles sombres éclairées par quelques miteux lampadaires. Autour de moi tout est flou, je me laisse emporter par la musique.

Je marche sans m'arrête malgré que ma tête semble tourné. Une légère impression de liberté perdue entre rêve et réalité. Peu à peu je ressens une étrange sensation. Mes jambes et mes mains tremblent, mon cœur s'emballe. Et là, devant moi je l'aperçois.

Médusé, je ne bouge plus. Je le regarde, il me regarde. Aucuns

mots ne sortent seul un regard suffit pour que lui seul comprenne.

On peut accélérer, on peut ralentir, on peut même figer le temps mais on ne peut pas revenir en arrière, on ne peut pas défaire ce qui a été fait. Je pensais à ce qu'elle avait vu. Je pensais à ce qu'elle n'avait pas vu. Je pensais à la façon dont je pourrais lui expliquer, et plus j'y pensais, plus je savais que rien de ce que je pourrais dire n'arriverait à effacer sa colère. Combien de temps pouvais-je rester là, à regarder l'inévitable ? J'avais passé deux jours assis là, dans ce monde en mode pause et je n'avais trouvé aucune solution.

Yeah !

Ferme les yeux et le monde devient celui que tu veux.

Ont se cherche une identité , un nom ou même une vie sans jamais y parvenir . 

Ont fait des choses qui ne nous ressemblent pas. On ne les assume pas, bien 

qu'on voudrait en avoir le courage.  J'ai toujours pensé que la vie était si simple ,

 bien au contraire. La vie est un roman qui ne se finis jamais . 

On a tous fait des choix qui nous convenait pas , être déçu .Rigoler pour oublier

 , fuguer pour s'évader . C'est étrange et incompréhensible. Et pourtant , il le faut ! 

Cacher ses pudeurs et faire croire du contraire . Se sentir blasée, de tout.

S'ennuyer ,attendre quelque chose ,un changement sûrement ! Songé à des tas de 

choses , inutile! Avoir  de l'espoir , y pensé aussi fort que l'ont le peut ,sans

 parvenir à arriver  à trouver la solution ! Pour que une fois de plus se retrouver devant la réalité qu'on essaye depuis tant d'oublier .L'oublier pour ne plus pouvoir à y pensé ,tous ses souvenirs que l'ont qualifierais de mauvais, dégoutant,abominable  !

Ecrire pour exister.

L'esprit embrouiller , des envies mêmes trop d'envies. Des souvenir immortels gravé à jamais, autant que bons que mauvais . Essayer de tous les oublier par des faits minables. Recommencer, recommencer et retenter à nouveau de les oublier.
L'on a tant de chose à voir, à lire, à découvrir, à offrir, à recevoir, à connaître,tellement de gens a rencontrer. Mais à vrai dire l'on se contentent tous du minimums .L'on tentent l'impossible, et ça fait perdre du temps ! L'on se bat pour nos rêve qui, pour la plupart se réaliseront sûrement jamais . Positivons ! Nous avons qu'une seule vie dans se putain de monde alors profitons jusqu'à en crever .

Solde été 2009

Short H&m ,Jean Zara ,Mariniere Zara ,Gilet long Pimky ,Chemice longue  MiMa. My litttle dressing

Parce que c'est elle et personne d'autre .

On s'accroche tous au moins une fois à une histoire qui n'est que passager,aussi dur que du fer

,on y croit encore et encore jusqu'à tout oublier ,ne plus penser à rien sauf à ce moment.

Vouloir y revenir et s'y impliquer jusqu'au bout , pour se rendre compte que l'on a négligé ses

amis les plus proches. Ont fini par comprendre qu'on a eu tors d'y croire aussi fort ,on a été si

naïfs .Je sais quand ont est avec une personne et puis finir par ressentir le vide de son absence,

chercher cette personne à un endroit alors qu'elle ne sera jamais plus a cet endroit , envolé...

Après ce moment difficile , les pensé s'estompent mais pas les souvenirs ...

Audrey Be.

(Pull and bear ,une marque que j'ai découvert en Italie et que j'aurais du mal en m'en passer .

J'aime leurs modernité ainsi que leurs petits prix .)

Bienvenue dans l'ère de l'innocence perdue. Les lumières rutilantes de Manhattan brillent toujours, qu'avait choisies Edith Wharton comme de toile de fond à ses romans d'amour qui nous faisaient battre le coeur, mais la scène est vide. Plus personne ne prend son petit déjeuner chez Tiffany, plus personne ne cultive le souvenir de ses aventures amoureuses. Non : aujourd'hui, nous avalons une tasse de café à sept heures du matin et essayons de les oublier aussi vite que possible.

Comment en sommes-nous arrivés là ?