mercredi 21 avril 2010

"Rêver n'est pas la moindre des choses, réalité en est la vie."


Je n'ai pas changé, c'est eux qui ont changé. Ils veulent mon autodestruction.
Ils ne savent pas que l'on finit toujours par se relever, seul.

Je cache chaque jours mes propres sentiments, personne ne le vois. Je ne pense plus qu'à une seule chose... Fuire ! Fuire de se monde, de tous ses gens arrogants, sans aucuns sentiments, prétentieux et plus encore.
Il est 19h30 l'heure de rentrer mais j'en suis guère l'envie. Je continue comme à mon habitude à marcher seule. Cigarette entre les lèvres il fait presque jour, presque nuit. Je continus mon chemin dans ces ruelles sombres éclairées par quelques miteux lampadaires. Autour de moi tout est flou, je me laisse emporter par la musique.
Je marche sans m'arrête malgré que ma tête semble tourné. Une légère impression de liberté perdue entre rêve et réalité. Peu à peu je ressens une étrange sensation. Mes jambes et mes mains tremblent, mon cœur s'emballe. Et là, devant moi je l'aperçois.
Médusé, je ne bouge plus. Je le regarde, il me regarde. Aucuns
mots ne sortent seul un regard suffit pour que lui seul comprenne.

3 commentaires:

Amande a dit…

J'aime la tête de mimine :)

Anonyme a dit…

Frédérick Jézégou ????????

Gwendoline. a dit…

Mes recherches google sont mauvaises (Ha ha), en tous cas le debut du texte je voulais te dire viens d'un auteur et c'est tres beau .

Bisees.